This Tinque Tanque* aims at helping saving the world by promoting a totalitarist approach of the Stancountries development. Ce Tinque Tanque* a pour but de sauver le monde. Il revendique une approche totalitariste mais reflechie et protecto-subventionniste du developpement des pauvristans. Este Tinque Tanque* pretende sencillamente salvar el mundo. Revendica un planteamiento totalitarista de los stan-paises.
* un Tinque Tanque es una jodidísima expresión americana que se refiere a un esfuerzo particularmente violento de reflexión en común para intentar salvar el mundo. Sencillamente.

Wednesday, December 5, 2007

Sunday, December 2, 2007

Tuesday, November 27, 2007

4P - Douze Connexion



CLIP OFFICIEL 4P : L'aveyron 2
envoyé par le4P

Un bon clip d'une bonne initiative musicale aveyronnaise...

Saturday, November 3, 2007

La liberté


Peut-on obliger les gens à marcher sur les mains? Peut-on leur interdire de se teinter les cheveux en blond?

Peut-on alors leur interdire de fumer dans des lieux traditionnellement fumeurs, voire des lieux où l'ambiance même est liée aux odeurs. Un bar à poches qui ne sentirait plus le cigarillo et le cheveu gras est-il toujours un bar à poches? Où ira le vieux pour prendre son ballon de rouge et gueuler sur les étrangers? De toutes façons c'est SON lieu, personne d'autre ne fréquente ces lieux là que lui (et nous, évidemment, au nom de l'expérience scientifique, sociologistes-observativistes-participativistes que nous sommes et par la même occasion pour goûter la picratte du patron).

Je milite pour la désobéissance civique, je réclame le droit de placarder des affiches "ici, le tabac est autorisé, toute plainte sera rejetée". Imaginez une boîte de nuit qui s'aventurerait à ce geste hors-la-loi: ne pensez-vous pas qu'elle attirerait tous les clients, à la défaveur des lieux où le tabac n'a pas le droit de cité? Alors pourquoi interdire? Pourquoi pas, au contraire, interdire l'entrée aux grincheux? Ils sont libres de rentrer ou de rester chez eux. Jusqu'à preuve du contraire, fumeurs ET non-fumeurs fréquentent ces lieux, le bruit et l'odeur font partie de l'ambiance.

Placardons dès à présent sur les portes de nos maison "je tabaclope" pour éviter la dérive. Qui sait si un invité n'ira pas se plaindre contre l'occupant des lieux pour enfumage passif. Nous sommes des êtres humains responsables et dotés de moyens de communication, utilisons-les. Les patrons des bars, eux, sont dotés de moyens d'extraction de fumée...

Est-que c'est parce qu'on est pas pauvre qu'on n'a plus le droit de faire ce qu'on veut?

Thursday, November 1, 2007

Y aller

T'as rien à dire? Pas de cerveau? Pas d'idées? Pas de coup de gueule?
Exprime toi blaireau, c'est pas tout de boire du vin, faut aussi s'exprimer de temps en temps sinon c'est Nico S qui s'exprimera pour toi.
Laisse pas trainer ton blog gros nul.

Sunday, June 17, 2007

Le sens du travail

Je profite de ce réservoir d'idées pour exposer mes questionnements sur le sens du travail. Nous oeuvrons dans le sens d'aider nos prochains, nos voisins du pauvristan et cela a du sens. Mais sans cette énergie qui nous pousse a aider gratuitement (certaines propositions d'embauche ressemblent d'ailleurs a du bénévolat) qu'est-ce-qui pousse l'humain à travailler si ce n'est la nécessité? Enfants, école, maison, doberman, voiture et autres besoin plus ou moins basiques qu'il faut couvrir, certes. Mais on est donc obligé d'être caissier ou vendeur de cravate pour PAYER?


Nos parents nous ont élevé sous ce modèle et nous ont envoyé à l'école. Ils nous ont dit de bien travailler pour pouvoir avoir un bon travail. Un bon travail? Un travail qui paie! Mais un travail satisfaisant, épanouissant? Un travail que l'on supporte longtemps? Un travail stimulant intellectuellement? N'a-t-on donc que deux choix: des sous et la routine ou pas de sous et l'épanouissement personnel? Reste une autre possibilité: changer de boulot. Mais changer de boulot, sans avoir la sécurité d'une paie quand on doit payer la bouffe du chat, l'abonnement à canal+, le body pump, bref, les besoins essentiels de l'être humain tous les mois, est-ce possible? Peut-on devenir à ce point prisonnier du boulot (ça va, on connaît la chanson)?

Alors que reste-t-il comme solution? Le communitarisme total, pour ne pas dire communisme, un peu trop rouge (c'est pas faute d'aimer le rouge mais bon) paraît une solution intéressante: chacun des moyens pour vivre et pour travailler, quelque soit le travail. Donc finalement autant faire quelquechose de stimulant puisque l'on n'a plus à faire face à l'équation impossible argent-intérêt.

Je ne tire pas de conclusion, je pose simplement la question: y a-t-il un autre moyen de travailler avec intérêt, volonté, sans jamais s'ennuyer toute sa vie et sans compromis d'engagements? Développeur, sais-tu si tu ne deviendras pas vil un jour?